Information Désinformation

La désinformation consiste à distiller des infos dont on modifie la perception en insinuant des contre vérités permanentes ou en effaçant des vérités gênantes qui n’apparaîtront pas dans la version officielle. Ce moyen, toujours pernicieux, fabrique un effet de perturbation de la perception auprès du public. Les citoyens se sentent dès lors en malaise permanent et n’ont plus de repère qu’en la parole du gouvernement qu’ils finissent par accepter en dernier ressort. La désinformation peut s’accompagner de mensonges volontaires qui font bizarrement le jeu de l’Opposition. Vient alors l’aveu d’une erreur qui embarque tout le monde vers l’idée que finalement tout va bien. On profite de l’aventure pour criminaliser les gens qui voient le mal partout, on les désigne sous le terme de conspirationnistes et, on leur oppose bientôt de nouvelles lois pour les empêcher de nuire et rassurer les français. Bien entendu, la désinformation ne soulignera pas que la liberté d’expression et nos droits constitutionnels viennent de perdre quelques plumes…

La vraie information ne peut venir que de services affectés à des tâches techniques, qui sont en mesure de montrer des images probantes des statistiques édifiantes, des études objectives etc… pour aller le plus souvent contre la version officielle. Or les gouvernements détenteurs des canaux de diffusion ont impérativement besoin de restituer une information conforme à ses besoins et non pas qui soit le reflet d’une quelconque vérité. C’est particulièrement vrai en France, où une guerre a été officiellement annoncée contre on ne sait qui ni pourquoi, mais qui justifie en toute logique une communication de propagande, qu’il s’agisse de la gestion du covid, du réchauffement climatique, des événements d’Ukraine ou encore du discours présidentiel fait aux africains.

Les dissidents ou lanceurs d’alertes ou simplement clubs de gens de bon sens qui éclosent un peu partout sont typiquement des groupes qui s’emploient à faire sortir du bois la vérité (donc l’information) par tous moyens utiles. Le réseau internet est évidemment le support essentiel de la circulation de ces infos. Mais on bénéficie également de témoignages directs de policiers qui nous parlent de la situation de la police, de soignants qui démissionnent et témoignent, etc…

Ces forums de vérité ne sont certes pas officiels mais ils existent partout et sont volontairement adressés au citoyen qui, d’un simple clic peut accéder à des découvertes édifiantes.

Bien sûr le gouvernement allume des pares-feux en établissant des listes de fausses nouvelles, que le bon peuple inquiet apprendra par coeur pour être certain de ne pas se faire tromper. Cette méthode est assez inefficace, car la vérité finit toujours par passer et les mensonges officiels sont régulièrement contredits sans que jamais aucun journaliste ou membre du gouvernement ne vienne nous expliquer les raisons de ces dissonances d’Etat. Sans doute ont-ils une foi inébranlable dans la capacité d’oubli des français quand l’actualité file à 100 à l’heure…

Selon qu’on est une personne de bon sens qui cherche à savoir et comprendre ou, qu’on est une personne qui ne supporte pas d’être dérangée dans ses croyances, l’information n’a pas la même fonction pour tout le monde. Beaucoup de ceux qui adhèrent à 100% au système ont besoin de se rassurer pour pouvoir continuer leur activité de travailleur citoyen. Elles en viennent parfois à accuser les chômeurs d’être des loosers paresseux qui se réfugient dans les théories complotistes car ils n’ont plus que cela. Tout n’est pas faux probablement, mais les chercheurs de vérité existent aussi. Quand ils trouvent ce qui ne va pas, ils ont tendance à vouloir le montrer, l’expliquer, le démontrer. C’est là que les gens de confort détournent la tête et ne cherchent pas à comprendre ce qui pour eux est issu de théories qui ne sont pas les leurs.

Au delà de la fonction de l’information (rassurer, ou mettre en mouvement) il faut parler du vrai et du faux bien sûr, et aussi de l’autorité (au sens de compétence) de celui ou de celle qui parle.

On a vu que la vérité est issue le plus souvent de domaines techniques. La notion de preuve ayant beaucoup évolué ces derniers temps, il faut aussi se garder d’affirmations définitives, car les preuves du monde numérique ne sont plus celles du monde du papier. Existe-t-il des preuves que les services spéciaux de certains pays puissent agir sur le climat ou les tremblements de terre ? Nous n’en avons pas vu ! Existe-t-il des preuves que l’utilisation du clonage des êtres vivants soit aujourd’hui utilisée pour remplacer des morts ? Pas vu non plus. Mais on imagine bien que depuis le clonage de la brebis Dolly dans les années 1990 les techniques ont évolué, mais jusqu’à quel point ? On comprend par de simples exemples que notre bon sens nous est au moins aussi utile que la notion de preuve, qui va essentiellement encombrer les prétoires dans les tribunaux, sans franchement faire avancer la compréhension du monde. Quand il s’agit de prouver que tel virus a été fabriqué en laboratoire et breveté en conséquence, contre l’avis opposé qu’il serait naturel, puis finalement fabriqué par d’autres, ailleurs, nous naviguons alors en pleins procès dont il ressort que les entreprises condamnées reviennent sans aucune contrainte sur le devant de la scène. S’agit-il d’une amnésie globale du monde ou de l’illustration de la supra puissance des labos ? Les jugent livrent-ils un verdict en fonction de preuves ou de leur âme et conscience ?

L’autorité, c’est ce qui confère à l’individu le droit d’être écouté pour sa compétence reconnue de tous (diplôme, réputation, etc..).

Au CNTCH, nous restituons modestement nos informations trouvées au cours nos recherches.

Depuis plusieurs années, nous réclamons la carte de visite du covid 19, toujours pas isolé à cette heure, ce qui entache les dispositions de prétendues précautions de nullité parfaite vis à vis de la science et du droit.

Depuis plusieurs années, nous disons que depuis 2008 il n’y plus de constitution ni de république, sans que personne ne soit venu nous expliquer le contraire.

Plus récemment, nous demandons au monde de la biologie de bien vouloir commenter les démonstrations de certains scientifiques sur la remise en cause de l’existence des virus mais à cette heure, aucun débat public n’a encore été ouvert à notre connaissance… On peut continuer avec la meilleure façon de guérir du covid 19 ou de l’étrange conséquence des vaccinations sur les vaccinés, mais ce serait lasser tout le monde…

Si le CNTCH a bien abordé tous ces thèmes, il faut bien reconnaître que l’information ne circule quasiment pas tant que les médias mainstream n’y mêlent pas leur grain de sel.

Quelques banderilles sont plantées sur CNews qui vont dans le bon sens, mais sommes-nous dépendants en matière scientifique de discours relayés par des journalistes ? Ne faudrait-il pas faire des émissions avec d’éminents biologistes ou médecins pour traiter ces sujets ? Ceux que l’on appelle les médecins de plateau, aussi médiocrement compétents que stipendiés par le système, ont-ils vocation à brouiller nos esprits pour l’éternité ?

La force de l’information, c’est le canal de diffusion. Ce peut être le bouche à oreille. Aujourd’hui, ce sont surtout les médias mainstream et internet. Toute la question est de savoir comment élargir une information au plus grand nombre, quand on ne détient pas la puissance des médias ? Le CNTCH travaille à répondre à ces préoccupations de diffusion. Il s’applique aussi à rester force de proposition de changement de paradigme en perfectionnant ses outils juridiques, philosophiques et historiques, afin de se tenir prêt pour les français pour la période qui s’annonce.


Consultez le programme de la Transition

Faites valoir vos droits !

Print Friendly, PDF & Email
WP Twitter Auto Publish Powered By : XYZScripts.com