Compromis, compromission et vérité

Le compromis est le fruit d’un accord réfléchi entre deux parties ou plus.
La compromission est une faute grave qui consiste à transiger avec ses propres principes.
Une personne peut être compromise en toute bonne foi si elle participe à une entreprise, par laquelle elle sera trompée.

Se compromettre, c’est perdre, potentiellement ou de fait, la moralité qui est conférée à chacun d’entre nous, lorsque nous sommes attachés à des croyances ou des modes de vie. Toute compromission altère gravement la vérité et la confiance du groupe auquel appartient la personne compromise.

Quelles sont les compromissions aujourd’hui ?

Si je suis médecin : jeter mon honneur par dessus les moulins pour suivre les instructions d’état qui contredisent elles-mêmes les principes d’Hippocrate millénaires,

si je suis scientifique : vendre le contraire de la vérité (inoculations expérimentales, climat etc…),

si je poursuis une carrière politique : décider de prendre pour vrai tout ce qui vient des officiels,

si je suis infectiologue : piétiner l’oeuvre de mes pairs restés sérieux et dignes, participant ainsi à une action criminelle de mise en souffrance psychologique de la population, etc.

pour éviter le jugement de la postérité : se taire ou minimiser le niveau de la compromission pour être blanc comme neige au moment des bilans.

Du laborantin au chercheur de haut niveau, chaque maillon de la chaîne de production des injections expérimentales, s’il observe une irrégularité dans le traitement des produits, se doit d’avertir sa hiérarchie et, si elle ne réagit pas, de signaler la chose à l’autorité supérieure. Les lois américaines dites Sorban et Oxley des années 2000 étaient faites pour ce genre de procédure de dénonciation obligatoire sous haute protection. Elles portaient exclusivement sur le suivi de la légalité de comptes. Il faudrait aujourd’hui une autre loi (américaine ou directive de l’OMS) pour s’assurer que les laboratoires délivrent des produits sains et non nuisibles à la santé humaine.
Mais il est déjà tard et les compromissions, non couvertes par la prescription, rejaillissent déjà sur leurs auteurs avec une sévérité d’autant plus grande qu’elles laissent des traces durables.

Se compromettre, cela aura été de se placer dans la mauvaise équipe pour le choix d’un confort immédiat ou par une manipulation de l’esprit qui consiste à se dire que si les vaccinations ont été dites salutaires pendant tant d’années, « il n’y a pas de raison qu’elles deviennent subitement dangereuses ! »

Cette compromission des foules vers un raisonnement erroné est celle des victimes, pas des complices de la démarche du « tout injection ». Il y a donc aussi compromission à faire confiance à un système, ou un groupe de personnes auxquelles aucun texte ne donne de droits supérieurs et en particulier d’obliger la population vers une démarche quelconque… Pouvons-nous et voulons-nous reconnaître que l’affaire de la pandémie était bien préparée et que devant le risque de la perte d’emploi, la raison des peuples a fait place à la croyance dans la bonté de ce système qui depuis 1945 nous a donné des avantages sanitaires apparents ?
S’ accrocher à une croyance en échange d’un job, tel fut le contrat proposé aux peuples pendant ces deux dernières années.

Malgré les dégâts, les travaux continuent…

« Travail » au sens étymologique, c’est à dire tripalium, soit torture

Nous voyons le président de l’OMS s’acheminer vers une logique d’ autorité supranationale en matière de décisions sanitaires. Cela signifie qu’à la prochaine pandémie réelle ou supposée le président de l’Organisation Mondiale de La Santé s’octroiera l’outrage d’imposer (entre autres) des inoculations forcées à chacun. Quel gage de moralité ou d’immoralité pouvons-nous et voulons-nous recevoir ou NON (!) de cette organisation mondiale de la prétendue Santé ? La satisfaction d’apprendre que son propre pays, l’Éthiopie, le considère comme un génocidaire…

Le CNTFCH propose le nouveau paradigme pour ne plus laisser à des mafieux non élus la gestion de prétendus risques sanitaires et pour permettre à chaque être humain de se gouverner lui-même en utilisant son plein potentiel.

Est-ce que dialoguer avec ces gens, c’est se compromettre ?

Pour l’instant, l’essentiel des levées de bouclier des personnes informées et conscientes qui interpellent le personnel du N.O.M. par un envoi de questions, rappels à la loi, orales ou écrites, est demeuré jusqu’ici sans réponse. Un procès se profile en Hollande, mais quand commencera-t-il ? La question des responsabilités est au coeur de cette nouvelle recherche. Plus ou moins compromis et plus ou moins responsable. Ainsi, nous entendons que les laboratoires se défaussent et prétendent que ce sont les politiques qui ont parlé d’obligation vaccinale, pas eux. Nous verrons bien au fil d’une justice à refonder laquelle des attitudes de ces messieurs sera plébiscitée.

La compromission des généraux de plateau télé qui consiste à dire à peu près le contraire de la vérité au sujet du front ukrainien, signale une allégeance totale à un O.T.A.N embarrassé de constater que la somme de sa puissance militaire n’est peut-être pas suffisante pour contrer la puissance russe (quantitative et qualitative). Eux aussi se préparent des jours difficiles où leurs mensonges criminels seront étalés comme de la vulgaire propagande destinée encore et toujours à instiller aux populations la peur, l’incompréhension, la sidération.
Eux non plus ne sont plus fréquentables et nous ne pouvons qu’inviter les citoyens, devenus sceptiques sur l’issue de ce conflit à quitter leur cour.

On peut prolonger l’argument avec le réchauffement climatique démenti par les faits jusqu’à cette première quinzaine d’août. Il est assez simple de démontrer qu’il fait exceptionnellement chaud dans une ville ou un quartier à un moment donné. En revanche, la totalité des chiffres moyennés sur un an nous montrent plutôt une tendance au rafraîchissement, pour ne parler que de la France. Ici, c’est la méthode scientifique qui est compromise par des spécialistes auto-proclamés qui ont choisi d’obéir (sous le poids de l’argent ou peut-être de la menace) à des lobbys dont l’intérêt est d’effrayer toujours un peu plus et faire tendre au confinement, que M. Schwab appelle de ses vœux.

Terminons par les incendies de forêts, incontestables ceux là, qui précipitent également les populations vers les zones urbaines plus faciles à protéger. Ils ont lieu étrangement dans des parties distantes de la planète : Canada, Hawai, Grèce, Turquie, Albanie, France…Savez vous que de nombreux incendiaires sont arrêtés régulièrement ? Par exemple en Grèce, ils ne risquent qu’un an de prison avec sursis et 3000 € d’amende. De quoi susciter des vocations de criminels à gages, si décontractés malgré leurs arrestations, qu’ils récidivent souvent. Serez-vous compromis (considéré comme incendiaire), si on vous aperçoit en promenade en forêt ? Peut-être,… Restons prudent.

La compromission consiste à persévérer dans l’erreur et à continuer de répandre les discours non cohérents.
Rappelons aux personnes compromises en tant que victimes de mettre fin à leur fausse croyance qu’un Machiavel de plateau leur a inculquées et de rejoindre la ligne du bon sens et du changement positif. Avec un tel niveau de compromission au sein de nos élites, aucun vrai compromis n’est possible.

Et au CNTFCH ?

Le CNTFCH dans son programme utilise à bon escient la notion positive du « compromis ».  Et ce qui est certain, c’est qu’il se donne pour « mission » d’en faire un usage systématique dans sa méthodologie. D’ailleurs, les deux syllabes de ce mot ne signifient-elles pas « promesse commune » ?

Dans les commissions mises en place lors de la Transition, il n’y aura pas une « opposition » et une « majorité » qui n’auront de cesse de « jouer » à s’attaquer verbalement, mais chaque délégué tiré au sort parmi les volontaires aura droit à la parole successivement. Et comme le faisaient et le font encore certaines tribus des « peuples premiers », quand tous auront parlé, on aboutira pacifiquement à un résultat, synthèse de tout ce qui aura été dit, soit un véritable COMPROMIS, accepté par un minimum de 67% des participants, voire beaucoup plus. Et ceci fera partie de la VRAIE démocratie.


Consultez le programme de la Transition

Faites valoir vos droits !

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